Historiquement, l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de Seine était un axe migratoire majeur pour les poissons migrateurs colonisant le bassin de la Seine. Ces populations étaient particulièrement ciblées pour la pêche en estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More, avec des tonnages relativement importants. A la fin du XIXème siècle, 250 tonnes de poissons étaient débarquées par les pêcheurs de Rouen-Elbeuf, dont 47 tonnes d’aloses, 25 d’éperlans et 5 de saumons.
Ces populations de poissons migrateurs ont été fortement fragilisées par les aménagements dans l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de la Seine, la dégradation des habitats et de la qualité de l’eau. L’esturgeon, le saumon et la grande alose ont ainsi disparu du bassin de la Seine au début du XXème siècle ; alors que des espèces comme l’alose feinte ou l’éperlan ont maintenu leurs populations plus tardivement (disparition à la fin des années 1960, en lien avec la pollution maximale de la Seine). Sur les 11 espèces migratrices originellement présentes en Seine, 7 étaient considérées comme disparues au début des années 1990.
Témoignant de l’amélioration des conditions d’accueil du milieu, un retour des migrateurs est observé depuis les années 2000, avec 10 espèces migratrices aujourd’hui régulièrement observées dans la Seine, dont le saumon et la truite de mer.
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