Sur les zones intertidales de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More, serpentent des petits chenaux perpendiculaires au fleuve, localement appelés ‘filandres’. Elles se forment à partir des eaux du fleuve, lorsque la marée montante crée des sillons à la surface sous la forme d’un chevelu. Elles peuvent aussi être alimentées par des apports provenant des zones humides proches qui s’écoulent vers le fleuve. Le balancement de la marée permet leur remplissage à marée haute et leur vidange à marée basse.
Les filandres jouent un rôle important pour le fonctionnement écologique de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More : zones plus calmes reliées au fleuve, zones de passage pour les espèces animales et végétales, zones de production de nourriture pour les poissons et les oiseaux, zones de refuge et de reproduction pour les oiseaux,…
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