Le mascaretPhénomène naturel typique de certains estuaires macrotidaux désignant une brusque surélévation de l’eau provoquée par l’onde de la marée montante lors des grandes marées. Il se produit dans l’embouchure et le cours inférieur de certains fleuves lorsque leur courant est contrarié par le flux de la marée montante. More, appelé également « la barre » ou « le flotMoment de la marée montante, avec des courants dirigés vers l’amont. (vs Jusant) More » en vallée de Seine, est une vague se propageant vers l’amont de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More lors de fortes marées (coefficient supérieur à 100). Ce phénomène, lié à la rencontre de la marée montante avec le courant descendant du fleuve, est renforcé par la forme d’entonnoir de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More et la faible pente du fleuve.
Pendant des siècles, les riverains de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More se sont méfiés de lui, tandis qu’il constituait un spectacle attirant des foules de badauds.
La vague pouvait atteindre 25 km/h et une hauteur de 2,5 mètres. Le point culminant se situait à Caudebec-en-Caux. Au fur et à mesure de sa remontée, l’énergie du mascaretPhénomène naturel typique de certains estuaires macrotidaux désignant une brusque surélévation de l’eau provoquée par l’onde de la marée montante lors des grandes marées. Il se produit dans l’embouchure et le cours inférieur de certains fleuves lorsque leur courant est contrarié par le flux de la marée montante. More se dissipait par frottement jusqu’à disparition totale de la vague aux alentours de Duclair.
Très marqué jusque dans les années 1960, ce phénomène a été très largement atténué par les aménagements de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More : les endiguements, l’approfondissement du chenal et un tracé plus linéaire, qui ont favorisé la progression du flotMoment de la marée montante, avec des courants dirigés vers l’amont. (vs Jusant) More, au détriment de la formation de la vague. Le mascaretPhénomène naturel typique de certains estuaires macrotidaux désignant une brusque surélévation de l’eau provoquée par l’onde de la marée montante lors des grandes marées. Il se produit dans l’embouchure et le cours inférieur de certains fleuves lorsque leur courant est contrarié par le flux de la marée montante. More est aujourd’hui toujours visible durant les vives eaux et lors de la période d’étiageQualifie la période de l’année où un cours d’eau atteint son débit le plus bas. (vs Crue) More, mais ne représente plus qu’une vaguelette de quelques dizaines de centimètres de haut.
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