Réseau de suivi de la qualité des eaux de l’estuaire de la Seine

L’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de la Seine fait l’objet d’un suivi pérenne de la qualité des eaux depuis 1956. Ce suivi a largement évolué depuis son origine, en lien avec les questionnements posés, les pressions exercées sur le milieu, les moyens disponibles et les possibilités analytiques. Géré depuis 2012 par l’AESN , il s’appuie aujourd’hui sur la mesure récurrente d’un ensemble de paramètres (physico-chimiques, chimiques et bactériologiques) mesurés sur des prélèvements d’eau et de sédiments, sur des stations réparties entre Poses et la mer. L’historique et l’évolution du réseau de suivi de la qualité des eaux de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de la Seine est présenté dans la première partie du présent rapport.

En lien avec l’évolution 1) des questionnements et des enjeux liés à la qualité des eaux de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de la Seine, 2) des techniques de suivi et des possibilité analytiques et 3) des moyens mobilisables par les acteurs de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de la Seine, la stratégie actuelle de suivi est questionnée. De par son expertise et sa connaissance du suivi actuel, le GIP Seine-Aval alimente ces réflexions. Elles sont reprises dans la seconde partie du présent rapport, sous la forme de pistes d’évolutions du suivi actuel selon trois objectifs : 1) comprendre la dynamique estuarienne (composantes physico-chimiques) ; 2) documenter l’imprégnation chimique (eau, sédiment, biote) ; 3) évaluer les effets de la contamination sur la faune aquatique. Ces éléments visent à être mobilisés par l’AESN pour alimenter leur réflexion sur l’évolution du suivi de la qualité des eaux de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de la Seine, ainsi que par les membres du GIP Seine-Aval pour la programmation de son activité pour les années à venir.