Rapport scientifique et technique
L’anguille est une espèce emblématique de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More, classée en danger critique d’extinction par l’UICN. Elle est caractérisée par un cycle biologique complexe, partagé entre le milieu marin, où se déroulent la reproduction et la phase larvaire, et les milieux aquatiques continentaux, où se déroulent la croissance et la maturation sexuelle. Les vallées estuariennes constituent des zones clés supportant d’une part les fonctions de migration (colonisation et dévalaison) et d’autre part la fonction de croissance pour cette espèce. Ainsi, les estuaires sont considérés comme des corridors écologiques lors de la colonisation du bassin versantEspace qui draine l’ensemble des eaux de ruissellement et d’infiltration vers un même exutoire (lac, cours d’eau, océan, etc.). More par les civelles et les anguillettes (montaison entre mai et juillet) et en sens inverse au moment de la migration de reproduction des anguilles sub-adultes (dévalaison entre octobre et janvier). Ces phases critiques sont sensibles à la présence de barrières physiques (ex. barrage, digues, …) ou physico-chimiques (ex. hypoxie, contaminants, rejets d’effluents, travaux de dragageOpération d’extraction des matériaux (sable, gravier, vase) déposés au fond d’un cours d’eau. More, assèchement de plans d’eau …) qui peuvent compromettre le succès de la migration. Les conditions de vie estuarienne de l’anguille, et donc des futurs reproducteurs, dépendent des caractéristiques des habitats : leur connectivité et leur capacité d’accueil d’un point de vue quantitatif (surface disponible et accessibilité, arrangement spatial…) et qualitatif (qualité trophiqueQui concerne la nutrition des organismes More, contamination chimique, présence de parasites). L’ensemble de ces facteurs peuvent affecter les performances individuelles permettant d’accomplir le cycle de vie de l’espèce.
Dans ce contexte, ce rapport propose d’établir un bilan des connaissances sur l’anguille, dans la basse vallée de Seine et en particulier sa zone estuarienne. Cette synthèse permet de dresser un premier bilan global de l’information disponible sur l’anguille européenne en estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de Seine. Des informations sur le rôle de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More dans l’écologie de l’anguille, la répartition spatiale des individus dans les différents habitats disponibles et surtout les pressions, propres à l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More, qui menacent la survie de l’espèce sont mobilisées.
L’objectif est de créer un cadre partagé pour définir les objectifs d’un programme de recherche dont la finalité est double : (i) améliorer les connaissances sur l’utilisation des habitats estuariens de cette espèce emblématique (ii) préciser les objectifs et modalités de restauration des habitats estuariens. En effet, cette réflexion se fonde sur le postulat selon lequel l’amélioration de la capacité d’accueil des habitats estuariens pour l’anguille repose non seulement sur la continuité écologique longitudinale mais aussi sur la disponibilité d’habitats fonctionnels, de leur accessibilité et de leur qualité.
Ce besoin de connaissances sur l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de la Seine fait écho i/ aux orientations du Plan National en faveur des Migrateurs Amphihalins qui met en avant le besoin d’améliorer les connaissances sur les milieux marins et de transition, ii/ aux actions du PLAGEPOMI 2022-2027 relatives au suivi de l’état de la populationEnsemble des individus de même espèce, occupant un même écosystème. More d’anguilles et iii/ à la disposition 1.6.3 du SDAGE 2022-2027 qui fait état de besoin de connaissances sur les pressions affectant les populations de migrateurs amphihalins et leurs habitats notamment en milieux estuariens.
Référence bibliographique
Olivry M., Teichert N., Trancart T., Carpentier A., Acou A., Muntoni M., Bacq N.et Feunteun E., 2023. Renforcement des connaissances sur l’anguille Européenne au service de la restauration des habitats de l’estuaire de La Seine. Rapport de recherche du programme Seine-Aval 7. MNHN, Station Marine de Dinard, GIP Seine-Aval. 99p.
GIP Seine-Aval, 2022. CAPNORD : Caractérisation des évolutions hydro-morpho-sédimentaires et écologiques du secteur de la fosse Nord depuis la construction de Port 2000. 55 pp.
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