Un futur incertain pour les nourriceries de poissons de l’estuaire de la Seine

Les vasières des embouchures des fleuves incarnent l’essence du fonctionnement écologique estuarien. Ces habitats sont extrêmement productifs et présentent d’importantes densités de proies benthiques*. Cette richesse trophiqueQui concerne la nutrition des organismes More leur confère un rôle de nourricerieSite de séjour des juvéniles, souvent en zone côtière. More essentiel pour la croissance de nombreux poissons, notamment d’espèces marines. Du bon état de ces milieux dépend donc le renouvellement des stocks en mer d’espèces commerciales telles que la sole et donc le maintien d’une activité de pêche de proximité.

Qu’en est-il de la fonction de nourricerieSite de séjour des juvéniles, souvent en zone côtière. More actuelle à l’embouchure de la Seine ? Comment peut-elle évoluer en contexte de changement climatique dans un estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More très aménagé ? En estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de Seine, la marinisation de l’embouchure alerte les scientifiques sur l’avenir de cette fonction estuarienne.