L’objectif principal du projet ANTROPOSEINE était de faire une synthèse de l’ensemble des connaissances acquises dans l’embouchure de l’estuaire et la partie orientale de la baie de Seine afin de décrire le fonctionnement du réseau trophique des différents secteurs qui composent l’ensemble de cette zone.
Il en ressort les principales conclusions suivantes :
- Si les facteurs climatiques et environnementaux jouent un rôle majeur dans la dynamique de l’ichtyofaune dans l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More, les productions benthique et zooplanctonique restent un facteur clé du fonctionnement trophiqueQui concerne la nutrition des organismes More.
- De même, les habitats intertidaux des zones Nord et Sud de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More jouent un rôle important de nourricerie pour les oiseaux et les poissons. Bien que fortement stressé, le potentiel trophiqueQui concerne la nutrition des organismes More de la zone Nord n’est pas négligeable.
- Ces zones au fort potentiel trophiqueQui concerne la nutrition des organismes More définissent la capacité d’accueil trophiqueQui concerne la nutrition des organismes More de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More pour les prédateurs. Ce potentiel est à préserver dans un contexte de marinisation généralisée des estuaires du littoral européen. En effet, dans ce contexte, et bien que cela ne se soit pas traduit dans les données analysées, on peut attendre un accroissement des abondances de poissons marins dans l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More.
- A ce titre, il apparaît, en première approximation, que les mesures de restauration d’habitats intertidaux associées à la construction de Port 2000 ont un effet significatif sur le fonctionnement du réseau trophiqueEnsemble de végétaux et d’animaux qui se nourrissent les uns les autres. A la base se trouvent les végétaux photosynthétiques produisant de la matière organique. Cette matière organique est consommée par les animaux herbivores. Ceux-ci sont à leur tour la proie des carnivores. Les détritivores interviennent à tous les niveaux pour recycler la matière organique. More.
- Dans un contexte plus global, même si leur interprétation en termes de stabilité et de maturité reste à approfondir, les indices ENA apparaissent comme de bons candidats pour devenir des indicateurs de surveillance holistiques des milieux côtiers et estuariens. Ils sont d’autant plus pertinents qu’ils sont associés à d’autres indicateurs (biodiversitéEnsemble constitué par la diversité génétique, la diversité des espèces et la diversité écologique, ainsi qu’à ses interactions. More, état écologique) qui apportent des informations complémentaires sur les processus et dynamiques à l’œuvre.
L’application du cadre théorique d’interprétation des indices de l’analyse des réseaux écologiques aux écosystèmes estuariens est cependant loin d’être évidente et reste un enjeu scientifique. Les estuaires sont singulièrement dynamiques et fluctuants. On pourrait ainsi supposer que la variabilité hydrodynamique qui maintient l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More dans un état de non-climax empêchant l’établissement d’un système «mature» et «stable». Paradoxalement cela pourrait être l’origine d’une forme de résilience de l’écosystème face aux perturbations naturelles voire anthropiques, le recyclage et l’omnivorie jouant un rôle tampon face aux perturbations