La couverture sédimentaire de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de la Seine est soumise à de fortes variations de nature et de structure, à des pas de temps d’ordre variable de la saison au siècle. Les remaniements et évolutions de la couverture ont ainsi structuré de nombreux facièsEnsemble de caractères permettant de classer un sédiment ou une roche par identification à l’œil nu. More. Les sédiments de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de la Seine et des fonds proches de la partie orientale de la baie de Seine sont ainsi très largement hétérométriques. Les facièsEnsemble de caractères permettant de classer un sédiment ou une roche par identification à l’œil nu. More sédimentaires sont quelquefois spécifiques et souvent originaux, tels les graviers envasés ou les sables à galets mous. Le projet H2O a étudié des habitats spécifiques hétérométriques, de l’échelle de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More à l’échelle de la carotte. Les questions scientifiques structurent le Projet H2O en deux tâches, toutes organisées vers l’étude de l’hétérogénéité sédimentaire. La première concerne les parties » internes » du sédiment ou à l’interface immédiate. La suivante cherche à qualifier l’hétérogénéité spatiale à l’échelle de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More aval et de la baie de Seine, pendant la période de 1985 à l’actuel. Le programme H2O a montré l’importance des paramètres autres que sédimentaires (bathymétrieTopographie des fonds marins. More, salinité,) dans la répartition des espèces benthiques. Les modèles statistiques permettent d’expliquer que ces paramètres supportent entre 30 à 89 % de la variance. Il a également mis en évidence le fort intérêt de l’échelle de la carotte pour comprendre les interactions benthos-sédiment, ainsi que l’importance de la dimension verticale pour cette compréhension. Des corrélations entre macrofaune et granulométrieDistribution statistique des tailles des particules composant un sédiment. More ont pu être établies. L’étude conjointe sédimentaire et biologique a mis en évidence des relations entre facièsEnsemble de caractères permettant de classer un sédiment ou une roche par identification à l’œil nu. More sédimentaires et espèces. La répartition verticale des espèces a mis en évidence (1) un maxima d’abondance en surface, et (2) un autre en profondeur supporté par Kurtiella bidentata et Chaetozone spp. Une première quantification du remaniement sédimentaire par les organismes benthiques de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de la Seine a été réalisée. Il est montré le fort potentiel bioturbateur de L. koreni. Le couplage in situ / expérimentation, fruit d’une démarche exploratoire aboutie, donne lieu au développement de nombreuses perspectives.
Lesourd S.. (coord), Dauvin J-C, Mear Y., Navon M., 2018. Projet H2O « Habitats Hétérométriques Originaux». Rapport de recherche du programme Seine-Aval 5, 76 p.
Responsables scientifiques des équipes impliquées
UMR-CNRS 6143 M2C, Université de Caen
Cnam-Intechmer
UMR CNRS 6143 M2C, Université de Caen Normandie
©2023, GIP Seine-Aval, tous droits réservés | Membres et partenaires | Mentions légales | Nous contacter | Réalisation Agence Evvi