Construction de scénarios d’évolution théorique des bathymétries de l’estuaire de la Seine

Avec le changement climatique, et les potentielles évolutions du fonctionnement environnemental de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More, notamment l’augmentation des risques de submersion, il est essentiel pour les gestionnaires de disposer d’informations sur les évolutions potentielles du fonctionnement hydro-morpho-sédimentaires de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More. Les trajectoires d’évolution de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More vers un équilibre Hydro-Morpho-Sédimentaire (HMS) sont complexes et fortement influencées par les interactions entre les forçagesProcessus (en général physique) agissant sur le milieu et provoquant des mouvements ou des changements d’état More naturels et anthropiques, ainsi que par leurs évolutions futures. La comparaison des bathymétries historiques témoignent de l’ampleur de ces évolutions au cours du dernier siècle.

Par ailleurs, les voies de navigation nécessitent un dragageOpération d’extraction des matériaux (sable, gravier, vase) déposés au fond d’un cours d’eau. More quasi-continu afin de les maintenir praticables. Cet impact anthropiqueRelatif à l’activité humaine. More (dragageOpération d’extraction des matériaux (sable, gravier, vase) déposés au fond d’un cours d’eau. More + clapageVidange en mer des sédiments de dragage en un lieu réservé à cet effet. More) modifie significativement les flux sédimentaires et le bilan sédimentaireRésultat chiffré de la comparaison des apports et des pertes de sédiments dans un milieu donné. More de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More. Selon la stratégie de gestion des sédiments dragués, le bilan sédimentaireRésultat chiffré de la comparaison des apports et des pertes de sédiments dans un milieu donné. More peut être excédentaire, à l’équilibre ou déficitaire. Lorsque le bilan sédimentaireRésultat chiffré de la comparaison des apports et des pertes de sédiments dans un milieu donné. More est déficitaire, l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More exporte plus de sédiments qu’il n’en reçoit : une érosionDiminution du volume d’un corps par perte de matière. (vs Accrétion) More globale est alors observée. A l’inverse, un bilan sédimentaireRésultat chiffré de la comparaison des apports et des pertes de sédiments dans un milieu donné. More excédentaire induit  une sédimentation. Actuellement, les dragages d’entretien orientent le bilan vers un déficit sédimentaire et donc une érosionDiminution du volume d’un corps par perte de matière. (vs Accrétion) More, un approfondissement de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More, contrairement à la dynamique naturelle de comblement des estuaires.

Les modèles HMS de type « process based model » permettent d’appréhender les trajectoires d’évolutions des fonds (composition sédimentaire, et morphologieEn océanographie, désigne la forme des fonds marins. More) en fonction de scénarios d’évolution du contexte hydro-morpho-sédimentaire à moyen/long terme. Cependant, la mise en œuvre de ces outils et la définition des scénarios sont relativement chronophages et coûteux.

En complément du développement de ces outils, le projet CRONSTIBATH vise à élaborer, “à dire d’experts”, des scénarios théoriques  de bathymétries futures. Ce travail permettra dès maintenant de contribuer aux études et recherches sur les trajectoires possibles d’évolution du fonctionnement environnemental de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More (ex. dynamique des inondations, migration du gradient de salinité et du bouchon vaseuxZone de turbidité maximale particulière aux estuaires, comprise entre des eaux douces peu chargées en matières de suspension à l’amont et les eaux salées marines. Sa situation n’est pas stable car il évolue au gré des conditions hydrologiques (débits, cycles de marée). More, évolutions des habitats). Ces définitions d’évolutions théoriques de la bathymétrieTopographie des fonds marins. More à une (ou plusieurs) échéance(s), à définir, se baseront sur notre connaissance :

• de la forme actuelle des fonds et de leurs évolutions récentes
• de la nature et de l’épaisseur des sédiments des fonds de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More
• de notre connaissance des flux sédimentaires et de leurs potentielles évolutions futures
• de l’hydrodynamisme actuel de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More
• des trajectoires d’évolution des forçagesProcessus (en général physique) agissant sur le milieu et provoquant des mouvements ou des changements d’état More naturels (niveau marin, débitMesure d’un volume d’eau traversant une section par unité de temps. More)
• d’hypothèses sur les forçagesProcessus (en général physique) agissant sur le milieu et provoquant des mouvements ou des changements d’état More anthropiques

Dans un premier temps, ce projet vise à définir 3 potentielles bathymétries futures correspondant à 3 scénarios différents d’évolution du bilan sédimentaireRésultat chiffré de la comparaison des apports et des pertes de sédiments dans un milieu donné. More : déficitaire, équilibré, excédentaire. La méthodologie sera par la suite applicable à d’autres scénarios. Un groupe de travail sera mobilisé afin de fixer les hypothèses de ces scénarios.