

COBAC
Portage :
GIP Seine-Aval
GIP Seine-Aval
Coordination scientifique :
Joëlle Forget-Leray (SEBIO)
Joëlle Forget-Leray (SEBIO)
Période :
2008-2012
2008-2012
Financement :
GIP Seine-Aval
GIP Seine-Aval
Labellisation :
Programme Seine-Aval 4
Programme Seine-Aval 4
Projet
Étude des processus adaptatifs susceptibles de se mettre en place au sein de population d'Eurytemora affinis exposées à diverses contaminations chimiques et/ou microbiologiques
Le projet COBAC s’inscrivait dans une démarche exploratoire visant à développer nos connaissances concernant les possibilités d’acclimatations et/ou d’adaptations de populations d’invertébrés de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de la Seine, vis-à-vis de diverses pressions chimiques et pathogènes auxquelles elles sont régulièrement soumises. Il s’est focalisé sur l’étude d’une espèce ayant reçu un intérêt certain durant les précédents programmes Seine Aval du fait de sa pertinence éco- toxicologique, le copépode Eurytemora affinis. Dans le cadre de ce projet, la capacité de ce copépode à faire face à certaines classes de contaminants présents (AP, et PCB) dans l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de la Seine a été explorée. La finalité est de tenter de comprendre les mécanismes mis en place par E. affinis aux échelles individuelle et populationnelle face à la contamination chimique et microbiologique.
Ce projet a permis d’apporter des éléments de réponse sur :
- L’adaptation du copépode Eurytemora affinis à ce milieu et plus précisément sa capacité de résistance à la contamination chimique, notamment une acclimatation dés le stade nauplien face à la contamination chimique (PCB126 et 4 NP) ou biologique (Vibrio spp) et une plasticité phénotypique à partir de la troisième génération exposée aux contaminants chimiques.
- Le développement et l’utilisation d’un nouveau biomarqueur « La chitobiase » corrélé au trait de vie croissance du premier stade de développement du copépode.
- Le rôle probable d’Eurytemora affinis comme vecteur de Vibrio et de bactéries d’origine fécale dans les eaux de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More
Forget-Leray J. (coord.), Petit F., Souissi S., Budzinski H., 2012. Projet COBAC : Étude des processus adaptatifs susceptibles de se mettre en place au sein de population d’Eurytemora affinis exposées à diverses contaminations chimiques et/ou microbiologiques. Projet Seine-Aval 4, 44p.
Responsables scientifiques des équipes impliquées

Joëlle Forget-Leray
UMR I02 SEBIO, Université du Havre

Fabienne Petit
UMR CNRS 6143 M2C, Université de Rouen

Sami Souissi
UMR CNRS 8187 LOG, Université de Lille 1