L’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de la Seine est une nourricerieSite de séjour des juvéniles, souvent en zone côtière. More importante pour les stocks de sole de Manche Est. Cependant, il souffre à la fois d’une faible disponibilité en surface de nourricerieSite de séjour des juvéniles, souvent en zone côtière. More et d’une qualité médiocre des habitats résiduels. CHOPIN avait donc pour objectif de décrire l’état, la dynamique et la bioamplificationAugmentation de la concentration d’une substance chimique lors du passage d’un maillon trophique inférieur à un maillon trophique supérieur, ou bien au sein d’une même espèce. More de la contamination dans le réseau trophiqueEnsemble de végétaux et d’animaux qui se nourrissent les uns les autres. A la base se trouvent les végétaux photosynthétiques produisant de la matière organique. Cette matière organique est consommée par les animaux herbivores. Ceux-ci sont à leur tour la proie des carnivores. Les détritivores interviennent à tous les niveaux pour recycler la matière organique. More des juvéniles de soles pendant leur phase de nourricerieSite de séjour des juvéniles, souvent en zone côtière. More par trois familles de contaminants organohalogénés (COH) : les polychlorobiphényles (PCB), les isomères de l’hexabromocyclododécane (HBCDD) et les substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS). Le projet visait aussi à apporter des éléments sur l’état de santé global des soles juvéniles et subadultes et à discuter l’impact potentiel des conséquences de la toxicitéEffets des polluants chimiques sur les organismes et les écosystèmes. On peut distinguer la neurotoxicité (effets sur le système nerveux), la génotoxicité (effets sur le génome), l’immunotoxicité (effets sur le système immunitaire), la reprotoxicité (effets sur la reproduction), etc. More liée à la contamination globale au sein de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More, en termes de survie juvénilePour les poissons, caractérise un individu immature et généralement de moins de 2 ans, fréquentant les nourriceries. More ainsi que de capacités reproductive futures, sur la populationEnsemble des individus de même espèce, occupant un même écosystème. More exploitée dépendante de cette nourricerieSite de séjour des juvéniles, souvent en zone côtière. More et qui s’étend sur l’ensemble de la Manche Est. Quelques résultats majeurs sont listés ici :
Labadie P. (Coord.), 2021.
Projet CHOPIN : Contaminants organoHalogénés histOriques et d’intérêt émergent : Présence et transfert vers la sole commune – Impact de la contamination sur la Nourricerie et conséquences sur la population. Rapport de recherche du programme Seine-Aval 6, 110 p
GIP Seine-Aval, 2022. Les nourriceries de poissons marins à l’embouchure de la Seine. Revue Tout s’explique !
Responsables scientifiques des équipes impliquées
UMR 5805 EPOC OASU, Université Bordeaux 1
TOXEM
Cellule de Suivi du Littoral Normand
INRAE
Ifremer - Unité Biogéochimie et Ecotoxicologie
Agrocampus Rennes , LEH
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