Contre vents et marées : les tempêtes dans l’aval de la Seine entre 1750 et 1930

Le fascicule 2.9 « Contre vents et marées : les tempêtes dans l’aval de la Seine entre 1750 et 1930 » s’appuie sur une démarche rétrospective de collecte de données climatiques anciennes pour nourrir les réflexions sur la vulnérabilitéNiveau de conséquence prévisible d’un aléa sur des enjeux. Différentes actions peuvent la réduire en atténuant l’intensité de certains aléas ou en limitant l’exposition des enjeux. More actuelle de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More aux phénomènes climatiques extrêmes.

Il s’organise en quatre parties :

1. Méthode de reconstruction du climat passé ;
2. Fréquence et intensité des tempêtes entre 1750 et 1930 ;
3. Dommages imputables aux catastrophes éoliennes et à leurs corrolaires fluvio-marins ;
4. Mesures de gestion des catastrophes et d’atténuation de la vulnérabilitéNiveau de conséquence prévisible d’un aléa sur des enjeux. Différentes actions peuvent la réduire en atténuant l’intensité de certains aléas ou en limitant l’exposition des enjeux. More.