Adaptation à l’augmentation de l’aléa submersion dans l’estuaire de la Seine

L’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de la Seine est particulièrement sensible à l’aléaEvènement (naturel ou humain) potentiellement dangereux. More inondationSubmersion d’un terrain. En milieu estuarien, elle peuvent avoir plusieurs causes : débordement d’un cours d’eau, submersion marine, remontée de nappe. More par débordement. Pour mieux appréhender cet aléaEvènement (naturel ou humain) potentiellement dangereux. More, le GIP Seine Aval a piloté le développement d’un modèleEnsemble d’équations permettant de reproduire analytiquement le fonctionnement d’un système. More hydrodynamiqueScience qui étudie le mouvement des eaux, en lien avec le milieu dans lequel elles évoluent. More 2D de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More, simulant la dynamique des inondations par débordement dans la vallée estuarienne (ARTELIA, 2022).  Ce modèleEnsemble d’équations permettant de reproduire analytiquement le fonctionnement d’un système. More a permis d’évaluer différents scénarios croisant des hypothèses sur les principaux forçagesProcessus (en général physique) agissant sur le milieu et provoquant des mouvements ou des changements d’état More hydro-climatiques (débitMesure d’un volume d’eau traversant une section par unité de temps. More, marée, vent…), l’élévation du niveau marin et la présence/absence de murets de protection (accéder au rapport).

Les résultats de cette étude ont notamment mis en évidence le rôle majeur de ces ouvrages de protection sur la propagation des eaux dans l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More. Leur présence limite en partie les inondations mais  génère des hauteurs d’eau plus importantes dans certaines zones à enjeux (ex:  boucle de Rouen) par rapport à un scénario dans lequel ils sont absents. Ce constat est à l’origine du projet ATLANTIS qui propose d’évaluer le rôle potentiel des zones d’expansion des eaux estuariennes (ZEEE) sur l’atténuation des aléas.

Il est ainsi proposé d’évaluer l’impact hydrodynamiqueScience qui étudie le mouvement des eaux, en lien avec le milieu dans lequel elles évoluent. More de schémas d’aménagement (par la création de zones d’expansion des eaux estuariennes), tout en considérant  différentes trajectoires possibles de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More d’un point du vue bathymétrique et d’élévation du niveau marin.