Le prisme sédimentaire d’embouchure de la Seine

Le projet PSES a permis de faire un état des lieux des connaissances disponibles sur le remplissage sédimentaire et la nature des fonds à l’embouchure de la Seine (données sismiques,  carottes sédimentaires, bathymétries historiques). La synthèse de ces données permet d’évaluer les stocks de sédiments accumulés, préservés ou érodés. Elle propose des interprétations des paléoenvironnements associés aux différentes étapes du remplissage. Ces travaux ont ciblé deux échelles temporelles : long-terme (Holocène, environ 10 000 ans) et récente (1834 – 2021).

Ce projet dresse des bilans long-terme et récents du remplissage de l’embouchure de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More de Seine et propose des interprétations des facteurs influençant les changements de dynamique de remplissage.  Il met en évidence des zones où la morphologieEn océanographie, désigne la forme des fonds marins. More du socle Mésozoïque et la géométrie des dépôts Holocène restent inconnues. Ces résultats sont utiles pour cibler les besoins d’acquisition de connaissances qui permettraient de mieux appréhender le déplacement des sédiments dans l’embouchure et ainsi de mieux anticiper les évolutions futures de la morphologieEn océanographie, désigne la forme des fonds marins. More de l’estuaireZone aval d’un fleuve, sous l’influence de la marée. Pour la Seine, l’estuaire s’étend sur 170km, du barrages de Poses à la baie de Seine. C’est également un lieu de rencontre entre les eaux douces venant du bassin versant et les eaux salées arrivant de la mer, à la base de la richesse écologique du milieu. More.